Le football est l’un des sports les plus populaires au monde, et ce pour plusieurs raisons. Il est facile à apprendre et englobe une grande variété d’exercices. C’est un jeu rapide et passionnant qui apporte beaucoup de plaisir aux joueurs.
Cependant, avec autant de personnes qui pratiquent, il est naturel que beaucoup se blessent. Heureusement, la plupart des blessures liées au football sont mineures, mais comme il s’agit d’un sport de contact, des blessures graves telles que des fractures, des luxations et des commotions peuvent survenir.
Les entorses de la cheville sont les blessures les plus courantes, suivies des blessures des muscles de la cuisse et du mollet, des blessures du genou (y compris les blessures du ligament croisé antérieur) et des commotions cérébrales. Sans parler de la fatigue ou des blessures de surmenage telles que les tendinites, les blessures du disque de croissance ou les fractures de stress dues au surjeu ou au jeu dans la douleur.
Ainsi, pour que vous puissiez pratiquer ce sport en toute sécurité, nous avons préparé les conseils ci-dessous :
Avant de commencer
Avant de commencer toute activité physique, aussi jeune et en bonne santé que l’on soit, il est important de se soumettre à une évaluation clinique, cardiologique et, dans certains cas, orthopédique. Avec l’effort physique, des problèmes cachés dans le rythme ou la circulation du cœur peuvent apparaître, ce qui peut, dans de rares cas, entraîner de graves problèmes.
Être en bonne forme physique.
Vous serez un meilleur joueur et éviterez les blessures. Faites de l’exercice et mangez sainement.
Des chaussures, des protège-tibias et des chaussettes adaptés peuvent faire toute la différence pour vous protéger pendant l’entraînement et les matchs.
- Chaussures de football : choisissez une chaussure de football avec des semelles antidérapantes en caoutchouc ou moulées. Les bottes cloutées présentent un risque de blessure plus élevé et doivent être utilisées lorsqu’une traction supplémentaire est nécessaire, par exemple sur un sol humide ou un terrain en herbe haute. Assurez-vous que la chaussure est de la bonne taille et lacer fermement chaque fois que vous jouez ;
- Protège-tibias : Un bon protège-tibias doit épouser la forme de la jambe, se terminer juste sous le genou et s’adapter à la cheville. Lorsque vous achetez des protège-tibias, un bon conseil est d’emporter vos chaussures de football et votre chaussette pour vous assurer qu’ils sont bien adaptés ;
- Chaussette : elle doit couvrir et maintenir le protège-tibia en place. Il doit être porté tant à l’entraînement qu’en match ;
Gardiens de but : maillots à manches longues, shorts rembourrés, gants de gardien de but, genouillères et coudières ;
Le jour de l’entraînement/du match :
Faites toujours un échauffement, un échauffement articulaire et quelques étirements avant le match ;
Restez hydraté, surtout par temps chaud, en buvant beaucoup d’eau en plusieurs fois à chaque match et à chaque entraînement ;
Retirez tous les piercings, boucles d’oreilles, bagues, colliers, bracelets et autres bijoux avant de jouer ;
Si vous ressentez une douleur en jouant, demandez à être remplacé. Si vous continuez à jouer en souffrant, vous risquez d’aggraver la blessure et de rester absent plus longtemps ;
Ne grimpez jamais sur les poteaux de but ou les filets. Plusieurs blessures, y compris des décès, ont été signalées suite à la chute de poteaux ou de filets sur des joueurs ;
Suivez les règles du jeu. Les jeux violents peuvent provoquer des blessures et des punitions ;
Gardez la tête haute et surveillez vos adversaires à tout moment. De nombreuses collisions se produisent lorsque l’on change de position sans faire attention aux autres joueurs ;
Apprenez et utilisez toujours une technique correcte lorsque vous vous dirigez. La tête mais la mauvaise tête peut blesser la tête et le cou. Gardez la bouche fermée et la langue hors des dents ;
Il faut toujours disposer d’une trousse de premiers secours sur le bord du terrain et d’un personnel qualifié pour l’administrer ;
Soyez prêt à faire face à toute urgence. Avoir le numéro de téléphone du SAMU, de l’ambulance ou de l’hôpital le plus proche ;